Nous présentons de 19h15 à 20h30 des lectures de poésie, théâtre ou roman ainsi que des auteurs.
Cette séance est gratuite ou en libre participation.
Lecture musicale de poèmes issus de "Sans titre pour l’instant"
Auteure Françoise Élian
Récitante Anne Laligant
Accompagnement au piano avec Marie Generali
Sans titre pour l’instant est un roman poétique, première œuvre de Françoise Élian, où l’on accompagne, au fil des chapitres, le cheminement d’une femme vers sa musique intérieure.
Au croisement de l’autobiographie, du recueil de poèmes et du journal de bord,
Sans titre pour l’instant est un ouvrage inclassable et accessible à tous.
Cet évènement est présenté par l’Association des amis de Daniel Boulanger créée en 2017 avec pour objectif de faire vivre et connaitre l’œuvre de Daniel Boulanger (1922-2015) .
La présentation comprendra en première partie un film de 45 minutes, réalisé par Jean-Daniel Verraeghe qui fera tout pour être parmi nous : « La bibliothèque imaginaire de Daniel Boulanger ».
Le film sera suivi d’une lecture à cinq voix de sa nouvelle « La lecture » issue du recueil « Fouette cocher »
Et de quelques « Retouches » , forme poétique qu’il a créée (forme brève !)
À l’occasion de la sortie de "Queens gangsta", paru dans la collection Rivages Noir, Karim Madani présentera et dédicacera son livre
Dans ce roman inspiré de faits réels, Karim Madani raconte le quartier du Queens dans les années 80 et l’arrivée de la "crack music" à travers l’odyssée de deux gamins qui vont se retrouver à la tête d’une organisation criminelle.
Soirée poétique et musicale
Porter haut en Musique ce que d’autres cachent, ambition première de l’Âme.
Différentes résistances m’ont fait des clins d’ieu au creux de mes chanteurs bienaimés : Barbara, Georges Brassens, Léo Ferré, Anne Sylvestre et Boris Vian ont agrandi les chants résistants.
Alors célébrer pour donner voix à mon Cœur et à mon Âme dans ces temps houleux.
Ce spectacle est né d’un désir de répondre aux événements actuels de manière
positive où le beau, le sensible et le spirituel ont toute leur place.
Le violoncelle, instrument par excellence le plus proche de la voix humaine, atteint, dans un jeu inhabituel de textures sonores, un puissant degré de polyphonie où la transe, cette envolée vers l’exaltation, montre ses premiers accents et se laisse deviner.
La voix humaine, à la fois portée par la musique et s’en dissociant de manière
autonome, s’explore elle-même tant dans la tragédie que dans la grâce du sourire, et gagne par moments des états de résonance subtils avec la voix de la musique comme avec la voix de Rûmî.
A partir de l’extrême simplicité d’un espace vide et de leurs seules présences, les
interprètes Sarah Jalabert et Birgit Yew von Keller font le pari de convoquer l’immensité. C’est dans ce paradoxe du vide attirant la parole « par cœur », la musique, le chant et la danse, que le public est mis en relation sensorielle et sensuelle avec les éléments du Vivant magistralement évoqués par Rûmî.